La diversité des habitats non cultivés est un facteur clé pour préserver la biodiversité dans les exploitations agricoles


18 septembre 2014
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Des chercheurs de l'Inra de Toulouse Midi-Pyrénées en collaboration avec l'Agroscope de Zürich viennent de démontrer que la diversité des habitats semi-naturels (haies, bandes herbeuses, friches, prairies permanentes, ...) est le principal facteur influençant la biodiversité dans les exploitations agricoles conventionnelles comme biologiques.

C’est ce que montre la plus importante étude menée au niveau mondial, portant sur 12 régions européennes, 205 exploitations et 1470 parcelles et habitats semi-naturels et cultivés issus de systèmes agricoles variés (grandes cultures, élevage, polyculture-élevage, maraîchage, oliveraie, vignes).